Carrefour Européen du Patchwork 4 – Catherine Tourel

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Ballade au coeur de la nature, la lumière était vilaine, l’église assombrie à cause du mauvais temps, malgré les nombreux spots, mais je vous invite à découvrir Catherine Tourel, dans ses nouvelles créations, éloignées du patchwork traditionnel, elle met un pied dans l’art textile, ou plutôt ses mains, et ce n’est pas pour déplaire, bien au contraire.

Belle journée à vous …

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Carrefour Européen du patchwork 2 – « Geneviève Attinger»

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La Chapelle  Saint Joseph est un écrin, chaque année, j’y ai découvert des oeuvres à couper la respiration. En ces lieux de cette modernité qui dans les années 60 a purifié les  nouvelles églises de tout ornement, ne laissant place qu’à la méditation, les murs de cette église au coeur de Sainte Marie les Mines offrent un support incroyable aux oeuvres de Geneviève Attinger.

J’y ai rencontré dans un souffle ténu, l’éternelle histoire des femmes, de l’amour, de la vie. J’ai senti les mains d’un homme étreignant un déshabillé, j’ai soutenu des femmes perdues dans l’immensité de la vie, j’ai baigné dans l’eau, dans cet océan omniprésent, j’ai croisé un matelot titubant mais beau comme un dieu, dans les rues de la soif d’un vieux quartier de Lorient, piège à demoiselle, l’histoire éternelle d’une femme dans chaque port.  Mon âme de marin a vibré sur le vieux Poséïdon soufflant sur les aussières d’un navire que l’on devine, corps mort d’une ancre pour un mouillage éternel au fond des abîmes. De la méduse pétrifiante, aux blues des corps à corps après une nuit blanche. J’ai redécouvert le travail de Geneviève Attinger, comme si je le voyais pour la première fois. Me projetant au coeur de l’Alsace dans la Bretagne de légende, touchant de chacun de mes doigts le combat éternel de la femme.

Merci Geneviève pour ce travail, qui ont delà du fil et du tissu, touche l’âme et les consciences, par les cris, les messages et les révoltes que vous transcrivez dans chacun de vos points.

 

 

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Dans mes archives

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DSC_0247 DSC_0246 DSC_0230C’était du temps où les brodeuses se voulaient élégantes, c’était mes débuts, c’était pour la bonne cause, des tutos et des cours gratuits pour des associations. C’était hier, c’était il y a 1000 ans, c’était avant … c’était en 2008 …

C’était mignon quand même ;-)

Bon je retourne dans mes archives, bonne soirée à tous.

 

 

Préparatifs

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DSC_0197 DSC_0200 DSC_0202 DSC_0205 DSC_0212 DSC_0217 DSC_0227Et Pauline qui me colle sa tête de bois, qu’elle a fait elle même pour que je l’habille ….. Je n’ai pas le temps, pas maintenant ;-) Demain est un autre jour, ma vie ne sera plus que légéreté, douceur et dentelle dit elle.

Bon début de semaine à tous, le devoir m’appelle, je m’enfuis…..

La dernière fugitive, pause lecture d’été

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Elle est déracinée, elle sait que la lumière est en toute être humain, quelque soit sa couleur de peau, sa religion et sa condition. Elle sait que la révolution est en elle. Elle ne trouve de consolation et de douceur que dans la confection des quilts …  Merci Denise pour ce livre, je cours m’y replonger ….moi qui ai vécu hors du monde, je rattrape mes retards.

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La dernière fugitive de Tracy Chevalier, Quai Voltaire

Quand Honor Bright se décide à franchir l’Atlantique pour accompagner, au coeur de l’Ohio, sa soeur promise à un Anglais récemment émigré, elle pense pouvoir recréer auprès d’une nouvelle communauté le calme de son existence de jeune quaker : patchwork, broderie, prière, silence. Mais l’Amérique de 1850 est aussi périlleuse qu’enchanteresse ; soumise pour quinze ans encore à l’effroyable régime de l’esclavage, traversée de toutes sortes d’épidémies, torturée par une nature capricieuse, rien dans cette terre ne résonne pour elle d’un écho familier. Sa soeur emportée par la fièvre jaune à peine le pied posé sur le sol américain, Honor se retrouve seule sur les routes accidentées du Nouveau-Monde. Seule, aussi, pour se frayer une nouvelle vie. Très vite, elle fait la connaissance de personnages hauts en couleur, dont son expérience de jeune fille pieuse ne lui aurait jamais laissé soupçonner l’existence.
Parmi eux, Donovan, le «chasseur d’esclaves», cet homme brutal et sans scrupules qui, pourtant, ébranle les plus profonds de ses sentiments. Mais Honor préfère se méfier des voies divergentes. En épousant un jeune fermier quaker, elle croit avoir fait un choix raisonnable. Jusqu’au jour où elle découvre que l’Ohio est traversé d’un «chemin de fer clandestin», réseau de routes secrètes tracées par les esclaves pour rejoindre les terres libres du Canada. Honor embrasse alors la cause des Noirs américains, et se jette dans une lutte subversive pour l’émancipation – la sienne, par-dessus tout – à l’issue de laquelle elle a autant à perdre qu’à gagner.

Portrait intime de l’éclosion d’une jeune femme, fresque poignante sur la violence d’une époque, témoignage précieux sur les habitudes de deux communautés méconnues – les quakers et les esclaves en fuite

Les perles sont les larmes des Dieux

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Nées de l’infime, d’un grain de sable , elles évoquent la pureté, la fécondité et l’amour des dieux pour nous humains ….  ces larmes qu’ils versent à chaque fois qu’une goutte de sang qui éclabousse nos écrans,  brûle nos yeux, le monde devient incontrôlable , ce monde n’est que tourmente, de Jésus à Mahomet, de Krishna à Oro, les dieux d’amour que nous avons créés, les prophètes de paix versent immobiles  des larmes éternelles qui se figent dans le silence.

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Figées comme ces morceaux du firmament, qui fit naître des princesses oubliées ….

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Mes perles viennent du pays des 7 royaumes, et la nostalgie m’assaille, m’étreint, me met à terre, je vois les pécheurs de perles plonger dans un bleu carnassier, et je me souviens.  Peut être est-ce à cause de cette chaleur qui écrase mes terres, blanchit les pierres, et assèche les herbes,   peut être à cause du ciel de Provence, qui se noie dans un bleu irréel. Je me souviens d’un hiver au bord du Golfe Persique, là où vont mourir les vieux bateaux ….. c’était hier, c’était il y a une éternité, c’était dans une autre vie …. tout devient flou … et j’ai des bleus sur mon âme, j’ai des perles dans mes rêves, et petit à petit je reprends le fil de ma vie, une aiguille à la main.

Où vont mourir les dowh ?

 

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