Le premier dimanche à l’européenne, un vrai dimanche qui n’est pas un vendredi avec grands parents et cousins, patouiller la terre, planter, arroser, observer et aider.

« On ne doit jamais écrire que de ce qu’on aime. L’oubli et le silence sont la punition qu’on inflige à ce qu’on a trouvé laid ou commun, dans la promenade à travers la vie. »

Ernest Renan

Mes poupées à moi, pur produit des années 60
(celle qui a des tresses est une Bella, l’autre je crois que c’est une Gégé mais pas sûr)

Ne pourrait-on pas dire avec justice à ces détracteurs d’un homme supérieur, si avides de chercher ses défauts : Quel droit avez-vous de lui reprocher des fautes qui ne l’ont pas empêché de valoir encore mieux que vous?

Marquis de Condorcet

Les Zencours ….

Contemporain ….

Traditionnel … et des petits carrés pour le Japon

Tricot et le soleil revenu, rien que pour nous …

Concept régime/patchwork, pas encore tout à fait intégré au sein de l’équipe ;-)
Même pas eu le temps de photographier la tarte aux pignons.

Des projets, beaucoup de projets tous aussi fous et formidables les uns que les autres, des projets d’art textile, des projets de mamy, des projets d’appliqués, des projets de broderie, des projets de fous rires, des projets de ballades, des projets d’entraides et de visites et de journées de l’amitié, et le bonheur immense de les retrouver toutes et de rencontrer enfin les nouvelles recrues.

Les lilas recommencent à fleurir pour parfumer le jardin de Mamy d’une odeur nostalgique.

Bientôt les bouquets dans les vieux vases ébréchés.

La cour était habitée, un visiteur a pris l’habitude de venir s’allonger au soleil, curieux, voyant la maison ouverte, il a visité toutes les pièces, avec une préférence pour l’atelier.

Quand les lilas refleuriront,
Au vent les capuchons de laine,
Robes rouges nous remettrons.
Quand les lilas refleuriront,
Sur le tapis vert de la plaine
Nous reviendrons danser en rond…
Quand les lilas refleuriront,
Allez dire au printemps qu’il vienne.

Retrouver ses trésors infimes et ses livres sous une tonne de poussière, les retrouver comme si on ne les avait jamais quittés, ils ressurgissent à la mémoire comme les souvenirs qu’ils représentent .. trésors minuscules et sans valeur … âmes des lieux.

Préparer le premier café, trouver au fond du placard un reste de sucre en poudre oublié et le boire. Préparer le premier petit déjeuner, chercher les bols et les cuillères et mentalement … faire la liste de tout ce qu’il y a faire, rajuster les couvertures sur les filles qui dorment encore, il fait froid ce matin, et puis sourire … en attendant le moment où le soleil se lèvera dans le chant des oiseaux.

Le jardin qui sent bon le printemps …

Un petit feu de cheminée pour retirer l’humidité de la maison ….

Le premier café ….. avec une l’envie terrible d’un petit morceau d’enfance ….