Je joue les petites mains, dans un projet, ou je ne suis qu’exécutante et c’est si bon …
Décontraction et nonchalance provencale, un simple histoire de boules, enfin si on veut …
les boules, il faut être honnête, ça roule dans les ruelles en pente ….
d’où l’interêt de jouer avec des cubes …
Donc j’ai vu jouer des messieurs avec des « boules carrées » … Ca existe depuis les années 80, mais il faut avouer que je n’avais jamais eu l’occasion d’en voir …il existe même un championnat du monde.
Tout ça pour vous dire que c’est bon de vivre chez nous …
Sur le Canal du Rhône à Sète
Passer la douve …
Rencontrer des chevaliers
Quelques bondieuseries …
Rejoindre les quais du Rhône, parce que pour passer le Rhône il faut être deux …
Choisir sa péniche préférée, la violette et mauve, Maman …
Il faut être deux et il faut savoir danser …
rencontrer un pêcheuse d’au moins troizans qui va manger son poisson … ce soir.
Etre un peu déçue, pas d’expo juste un point de vente …
repasser les douves …
Admirer la porte …
Se dire que jamais plus on ne verra ce panneau …
S’enivrer du parfum du Monsieur qui vendait des pivoines …
et s’installer sous les treilles de jasmin … en parlant de sa grand tante qui exposait au début des années 90 les premiers patchwork dans la chapelle des Capucins …
Et faire une rencontre bien étrange, dont je vous parlerai demain …
Pélerinage
Je n’avais pas eu le temps d’y aller cette année, un coup de voiture, et me voilà dans le fief des Saintes .. les pieds dans le sable, le nez au vent, Mistral ….
Les Saintes Maries de la Mer ….
Elle est toujours aussi belle, toujours aussi sereine Kali.
les ex-voto …
Mes filles qui allume leur cierge … et communie à leur manière.
le retour avec des drôles de rencontres ….
des apprentis photographes …
et les flamands …
Bon on va prendre un café sur la terrasse d’une cabane de gardians ?
Sauvée des griffes ….
de Raminagrobisbide
Quand ….
Céline et Pascale s’éclatent en de envolées culinaires …. c’est de l’art …
les bâtisseurs
8 mai
Devoir de mémoire
« Pour parler de la guerre Il n’y a que des larmes. »
Henriqueta Lisboa
