Il faut le dire, je ne me lasse pas de ma région … je le crie, je le hurle, je le dis, mais que c’est beau chez nous ….
Allez des petits riens from Arles … (moi chauvine … ? Non, à peine)
Et puis posé à même le trottoir ….
Il faut le dire, je ne me lasse pas de ma région … je le crie, je le hurle, je le dis, mais que c’est beau chez nous ….
Allez des petits riens from Arles … (moi chauvine … ? Non, à peine)
Et puis posé à même le trottoir ….
j’aime flâner dans les rues et regarder tout simplement, les graffitis me font sourire, mais celui ci m’a fait éclater de rire …. il manque juste kilt en plus …
j’aime celui ci sans aucune faute d’orthographe …. le pas trop dénote d’un certain … enfin vous voyez ce que je veux dire ….
et celui ci d’une grande sagesse ….
Et puis dans la rue on découvre aussi … on prend le temps de tout doucement regarder les jeux d’enfants.
Je retourne sous ma couette, la grippe saisonnière qu’il parait … j’ai juste attendu le 1er mai pour l’attraper ;-) Belle journée à vous.
le temps de fleurs, des couleurs, des odeurs, le temps des vacances, le temps du marché paysan … bientôt l’été.
la fameuse tapenade a eu du succès, apéritif offert par la municipalité et le marché aux visiteurs …
la pissaladière aussi, mais pour les intimes ;-)
Je confirme l’ail ça tue à 7h00 du matin. Ben oui faut bien tout préparer.
et c’est le temps des garden party, des pique-niques tous ensemble au bout du marché et j’aime ça … dans ce monde individualiste, un seul pouvoir vaincra, celui de la solidarité.
« L’individu s’oppose à la collectivité, mais il s’en nourrit » André Malraux.
La luminosité du ciel est étrange en ce moment, le soleil semble éclairer différemment … ou peut être est ce moi qui change ma perception des choses et des gens, qui sait ? …. et c’est bien.
Dans la montagne, un Z, comme un signe, serait il venu, le moment du retour de
MamZelle ZaZa, princesse des petits riens ? Qui sait … Inch Allah.
Lumière des fruits de la vigne.
De l’abrivado , au tri du bétail, en passant par le marquage du taureau, c’est le travail quotidien des gardians, puis il y a les jeux traditionnels, le bouquet, le ruban, l’orange, des jeux qui existent depuis plus de 500 ans. Je suis dans mon élément, il y a des chevaux.
Les coquelicots ….
et les genêts ….
Une belle exposition pour ceux qui peuvent encore y aller, c’est jusqu’à demain ….
Pauline a dit ….. mamaannnnnnnn on se croirait dans ton atelier ;-)
Je me demande si Ghislaine a pensé à moi en montant ce mannequin ;-)
La présentation de la reine d’Arles.
la transmission du fanion …
Les amazones effectuent un quadrille, les arlésiennes sont belles et jeunes, et ne sont pas des stassi comme on dit chez nous, elles montent à cheval pour aider les gardians à la menée du bétail, les travaux d’aiguilles est une nécessité dans la composition de leur costume, mais leur rôle ne se cantonne pas qu’à ça. Les provençales ont du caractère et ne sont pas de petite nature pour affronter à cheval dans les marais, le Mistral.
Moderne et active, il n’est pas rare le soir du 1er mai de croiser une jeune fille en tenue, grignoter un big mac ;-)
Ce que j’aime dans la tradition, c’est cette transmission de génération en génération sans que la chaîne ne se rompe, sans que ça s’empoussière.
la 22ème reine d’Arles … Mandy Graillon élue le matin même pour 3 ans, elle sera intronisée avec ses dauphines
le 6 juillet.
« Mandy Graillon succède ainsi à Astrid Giraud et prendra officiellement ses fonctions des mains de la précédente Reine le 6 juillet lors d’une cérémonie toujours très émouvante pendant la fête du costume.
Deux mois et quelques jours qui vont permettre à Mandy très émue lors de son salut à la foule d’entrer dans son personnage si cher aux Arlésiens et au pays d’Arles et que bien d’autres Régions nous envient.
Mandy Graillon, 23 ans, achève ses études ecole supérieure de commerce à Lyon, parle le provençal depuis toujours et plusieurs autres langues. Elle vient de passer 6 mois en Chine, et coud ses costumes elle-même avec sa mère. Elle envisage en tant que Reine d’Arles d’être une ambassadrice de la culture provençale, dans les régions de France comme à l’étranger.
Anaïs Bernard (21 ans, étudiante en ostéopathie animale), Jeanne Di Sarno (19 ans, étudiante en droit), Elodie Porrachia (19 ans. technico-commerciale en agro-alimentaire), Aude Raynaud ( 22 ans, comptable) , Lucie Riquelme (19 ans, étudiante en management et communication ) et Martine Thomas (Arles 22 ans, prépare son brevet professionnel de coiffure) deviennent ses demoiselles d’honneur. »
la 21ème reine d’Arles et ses dauphines.
La jeunesse qui perpétue l’histoire.