Je n’y peux rien c’est maladif, je collectionne les nuages, je ne peux me défaire de cette addiction …
J’ai ouvert mes fenêtres et je les ai vus
Comment rester insensible …
Au bord du pré je me suis assise, j’ai bu mon café et j’ai regardé le jour se lever, je suis gelée.
La Sainte Victoire émerge doucement …
Ils filent tous à la vitesse du vent, vers la mer il me semble …
Les arbres les embrassent en un éphémère amour.
un moment d’éternité.
Le Luberon est encore dans l’obscurité. Il « grassematine » doucement
Il arrive. Et dans l’horizon, un avion s’éloigne vers un pays inconnu.
Il est temps de se préparer pour la grande fête provençale du mercredi des Cendres.
Vous n’en avez pas par dessus la tête de mes nuages ;-) ?