Se sentir un peu sorcière dans le matin serein ….
Quand le Luberon nous rappelle qu’il est une montagne, je cours les champs à la découverte des bonnes herbes,
ail, millepertuis, mauve, bourrache, églantier, bouillon blanc et tant d’autres dont j’apprendrais le nom… peut qu’un jour nous nous rappellerons qu’elles soignent
je les regarde doucement et je me baigne dans le soleil enfin réapparu.






















































Après 6 mois de sécheresse et un hiver assez éprouvant, il se remet tout doucement. pas envie d’écrire, pas envie de parler, juste regarder les plantes se réanimer après un hiver sans fin. Il y a tant à faire encore …. les rosiers s’épanouissent en liberté, les nénuphars sont presque prêts, les carpes et poissons rouges sont étroitement surveillés par Capou et tous les autres chats quel meilleur abreuvoir que les bassins. Le jardin protégé dans la vieille cage a fleuri, j’ai « tondu » le gazon dans le bocal, j’ai retrouvé ma brouette kitch en fer forgé … et il fait beau.



































Sentir les nouvelles fleurs 









































Petite nous y allions pique-niquer les soirs d’été après les grosses chaleurs, l’eau glacée du Verdon était un bonheur, plus grande c’était les soirées d’ado, un coup de moto, des pèches pas très réglementées, des fossiles retrouvés, nous avions l’impression d’avoir changé d’espace temps,

























































Visiter la crypte comme du temps du pensionnat de jeune fille ….































Entendre parler toutes les langues, croiser toutes les nationalités et se dire que Marseille sera toujours le symbole de l’union des peuples …








Le rose fleurira demain