Buller s’ennuyer sur un banc du parc public tandis que les filles jouent …
Ca piaille dur au dessus de ma tête …
Et dans les fourrés …. j’ai même passé mon appareil photo à mon voisin
(ben oui il y a des papas au parc)
pour mieux les surprendre ..
Ils ont colonisés chaque espace vert de la ville …
le matin très tôt, ils racontent leurs rêves de la nuit …
ils posent quelquefois … cabot au possible
Repèrent la petite miette du goûter … pour venir la picorer sous notre nez en un demi huit cubain inversé ;-) digne de la Patrouille de France.
Tandis qu’un couple de tourterelles pas vraiment maigre ….
se dandinent comme Amélie et Amélia, les oies anglaises des Aristochats.
ils ne leur manquent que les bonnets des pionniers en liberty vous ne trouvez pas ;-)
un future création, n’en doutez pas … ;-)
Bien voilà, j’entame le troisième mois des petits riens 2012 ….. plus que 10 mois ;-)
Claudine
Chez moi aussi, des patrouilles ailées et des concerts. C’est bien agréable ! Bonne journée
La Bastidane
j’adore quand ils font des démonstrations aériennes.
LN
C’ est un zeste de fraîcheur et de légèreté empli de gazouillis d’oiseaux que vous nous offrez là pour notre plus grand plaisir .
La Bastidane
Ca sent le printemps, le printemps qui arrive avec gazouillis et douceur de vivre.
marjolaine
j’adore
La Bastidane
merci.
Malène
La douceur de l’air s’accompagne ici aussi de toute une gent ailée et bavarde pour mon plus grand plaisir. Je l’avoue, je n’apprécie que les oiseaux en liberté, au risque de recevoir une fiente sur la tête, assise sur un banc! Merci de nous montrer ces piou-pious d’AD.
La Bastidane
je n’aime pas les oiseaux en cage, j’aime les cages ouvertes.
meunier marie jeanne
Belles photos …. ma chatte aussi apprécie les piou piou …. lili se prend pour la reine de la jungle dans mon petit jardin …. juste bonne à les effrayer un peu !!! je rigole !!! belle journée !!!
La Bastidane
J’adore quand les chats se la jouent, acteur d’un film qu’ils sont les seuls à connaître et que je leur envoie des petits pierres autour d’eux pour ne pas qu’ils attrapent les oiseaux à leur grand désespoir.