Au milieu des giboulées de septembre, mon regard s’attarde, il se promène, et s’interroge. Des dorures des Eglises à l’austérité des Temples, de cette fabrique abandonnée au bord du ruisseau où j’aimerai tant entrer, découvrir comment les plantes ont poussé, telle une serre improvisée.
Des orgues d’antan aux girouette folles, des toits de tuiles vernissées, aux balcons fleuris il s’arrête, l’espace d’une seconde pour regarder ce que d’autres ignorent. Dans un automne précoce que les fleurs ont du mal à repousser, je rêve et j’enregistre le temps. Et c’est sous un lustre au bronze ancien, que j’écoute l’Histoire. Bien avant de découvrir les oeuvres qui durant quatre jours m’ont émerveillées. On se donne rendez vous demain ?
mamillon du luberon
tes photos sont très belles, parfois ça me donnerait envie de reprendre le dessin et de peindre, même si je ne suis pas douée (lol)
Carole
Il est beau ce regard, merci!