Billets récents
A la découverte des vins et de la broderie
Merci à tous ceux qui se sont déplacés, aux clubs, aux particuliers, quel bonheur de vous rencontrer …
merci à Sophie et Mathias de m’avoir accueillie, merci pour l’atelier découverte des arômes, merci pour la visite des vignes et de la cave.
Merci d’avoir accueilli familiers et visiteurs pour un pique nique en commun convivial.
Ce fût une merveilleuse journée, à recommencer certainement.
Merci à Michèle de l’atelier du Toucan, tes petits gâteaux ont plu à tout le monde, et même aux visiteurs, la preuve en images
C’est dimanche, une autre journée m’attend, ailleurs, à demain ….
Photo atelier du Toucan
La kratrice rurale a bien besoin de prendre rendez vous chez le coiffeur …
Mon aide brodeur
Je pose ;-)
Je vous attends au Puy des Arts
Mes sacro-saints Jeudi
Les tricoteuses ….
Les quilteuses ….
Les Réfléchisseuses à comment monter les blocs de la journée de l’amitié ….
Les compteuses de moutons ….
Les testeuses de nouveaux fils
Les bulleuses
Les testeuses de nouveaux gadgets ….
Les goûteuses …..
Les réinterpréteuses de Jules le chien de Born to Quilt, revu et corrigé, quelques julies sont nées ;-)
Vite vite à jeudi prochain.
En cours, une kratrice rurale sans son tracteur …..
N’est absolument pas rurale enfin, et il ne suffit pas de prendre la campagne en photo pour le devenir ….. et puis avec les Rousquilles offertes par Fa Bienne, un délice que je ne connaissais pas, dessert typique des Catalans. Merci Fa Bienne c’est vraiment très bon, je cherche un autre mot, mais je ne le trouve pas, bon n’est pas assez fort, en fait les Rousquilles c’est féérique, voilà.
Je me suis installée devant mon café, mes Rousquilles fondantes et délicieuses, oui je confirme c’est divin et … je me suis dit qu’il manquait quelque chose sur ma photo .. et je suis allée chercher mon tracteur … commençé il y a des siècles et toujours pas terminé … il semblerait que le toit de la cabine devienne un pique aiguilles et que la remorque soit l’écrin de mes ciseaux et dé, qu’en pensez vous …
Je sais je me la pète avec mon tracteur, et mon initiale en guise de plaque d’immatriculation …. je ne connais plus personne en Massey Fergusson …… encore une création improbables à terminer. Petit mot à l’attention de Fa Bienne, je n’ai pas eu le temps de prendre les croquants au citron en photo, deux mouettes adolescentes s’y sont attelées avant que je ne puisse intervenir … donc merci de nous toutes.
Et merci encore.
Il a de l’allure quand même ….
Ne jamais oublier les phares …
et mon initiale ….
Je le vois bien porter dans mon futur atelier mes aiguilles et autres ustensiles indispensables et trôner sur ma table de travail.
Le café est un peu tardif ce matin, mais vous pourrez toujours le boire après déjeuner … Belle journée à tous.
Il sera une fois …. matière à histoires ….
Celle du bourdon, amoureux d’une abeille ? OU de l’abeille qui avait oublié sa culotte, et qui rougit en voyant que le photographe lui avait photographié ses fesses ? Ou bien celle de l’escargot qui voulait prendre un bain ? A moins que ça ne soit la légende de la rose trémière qui voulait devenir nénuphar ?
Je ne sais pas encore … de quoi les histoires de demain seront faites, alors j’amasse et j’engrange les matières à histoires;
Ballade de l’autre côté du Rhône.
C’était une cité royale, de celles protégées par l’histoire, de croisades en guerres de religion, de fleuves millénaires, aux remparts de protection, elle fait partie de l’histoire des papes d’Avignon, de ses célèbres foires moyenâgeuse aux imposantes abbatiales, elle garde le souvenir intemporel de ses occupants depuis l’antiquité mais que j’aime cette ville.
Villeneuve lez Avignon
Au détour d’une ruelle, l’exposition de patchwork des dames de Villeneuve
Mot d’excuses, j’étais à Caromb, au deuxième salon des créateurs
La petite Nathalie, n’a pas pu écrire les petits riens ce week end, parce qu’elle avait un salon, mais quel salon, je vous emmène en photo, découvrir les super exposants que vous avez raté … si vous n’êtes pas venus … si vous n’avez pas pu venir …
Merci à Jocelyne Arnaud, présidente du club, Un point de plus de Caromb et à toute son équipe de son accueil, c’est parti pour une visite éclair ? Allez on y va ….
Manucrea …
Patou et des poussières
Céline Furick et Dame Valiste
La pause déjeuner ….
Pascale Piéte, Jubama pour ne pas la nommer …
Agnès d’un point C fou qui joue les stars de la croisette ….
Les gâteaux fabuleux cuisinés par les bénévoles, on n’a toujours pas trouvé le concept arts du fil – régime ;-)
Rosy a craqué pour des gabarits de folie pour le patchwork …
Atalie et Tom et Lili …
Les packs créatifs pour l’art textile totalement géniaux d’Empreinte de soie.
Le stand de Béatrice alias Dame Valiste …
Point de senteur et Martine en live ….
La reine de la Long Arm, Fabienne Centola
j’essaye de rater les photos de Marie Claude Iperti, mais je n’y arrive jamais ;-)
Sandrine Vitali et l’atelier de Lucile.
Rouge petit coeur ….
Cornelia et le monde de Baïka …
Catherine Tourel
Le stand préféré de mes filles, on se demande pourquoi …
Les stars d’Avignon, Kalaté la plus jolie mercerie, des remparts …
Créations Aureline et Patou
Sarah patch et Coeur à prendre
Mais où est Charline ? elle était en vadrouille et après j’ai oublié de faire la photo … mais ça sera pour une autre fois …
C’était trop bien Caromb.
Rhooo et moi et moi …..
A retrouver sur La Bastidane, mon blog sérieux enfin presque
Pardon pour ceux qui ne sont pas dans cet article … j’avais un stand à tenir quand même …
Comme tous les jeudis
Patchwork et broderie, Marie Françoise, nous a offert une collection de revues de patchwork et ça y va bon train, merci Marie Françoise … c’est un magnifique cadeau qui a nécessité plusieurs voyages de la voiture au foyer rural, depuis que la place du village est devenu sublime agora neuve et néo romaine ou grecque, loin des vieux villages de notre Provence, interdite de circulation, et où il faut des patins pour y accéder (pas à roulettes les patins, des patins pour ne pas salir) et où un nouveau sens interdit, perturbent les réflexes des anciens (personnellement ça ne faisait que 45 ans que je passais par là).
Arrachant arbre presque cinquantenaire pour en planter deux autres, le sapin de Noël de tous les enfants qui ont vécu ici.
Mais la beauté moderne doit prévaloir au pragmatisme, c’est vrai pour le patchwork, l’art textile, mais c’est vrai pour l’urbanisme aussi.
Mais quand on aime on ne compte pas, on s’est donc trimballé nos
100 kg de revues.
et comme chaque jeudi, on a papoté d’Acanthes et de tissu, du temps et des films qui nous voudrions voir
des émissions très sérieuses qu’elles ont regardées (il y a longtemps que j’ai arrêté, la politique, les turpitudes électorales, à moins que je n’ai jamais commencé, comptant les points des ego)
on a parlé des futurs salons et expositions, on a cousu, thé et café à volonté
Sourire gratuit, le bonheur d’être ensemble.
Elles ont découvert mon livre avec ravissement, elles qui m’ont soutenu pendant des mois
Michèle a sorti sa production de broderie, elle ne s’arrête pas,
un futur « on ne sait quoi » en préparation. Une merveille c’est acquis.
Et dans notre bulle de calme, on est loin de tout, des bruits de la ville, des grèves, des inondations, de l’état d’urgence, des maladies… de tout ce qui fait que ce monde est terriblement effrayant. Mais ce n’est pas pour ça que nous n’y pensons pas.
Mais le jeudi, c’est notre moment, notre sas de décompression, juste quelques heures. Seulement quelques heures loin du chaos.
On pense très fort à tous, et on finira par s’habituer à notre place, comme on s’est habitué au cimetière, à l’école, aux parking et autres panneaux de circulation (manque plus qu’un feu rouge, mais ils vont bien en mettre un un jour) et à bien d’autres choses qui ont modernisé, et fait de notre petit village, la cité dortoir qu’il est devenu, une banlieue comme tant d’autres, un lieu de passage.
Heureusement quelques anciens essayent de maintenir ce lien ténu qui s’effiloche chaque fois un peu plus, et puis un jour, il n’y aura que ceux qui prennent le village pour un quartier d’une grande ville, qui ont transformé ce lieu en un métro boulot dodo, sans respect pour la mémoire d’une population. Ceux qui y sont arrivés bien trop tard dans leur vie, pour imaginer qu’un village c’est une histoire, des paramètres à ne jamais négliger et des souvenirs d’enfance, mais surtout des gens qui y vivent et y travaillent et savent s’entraider, un jour ils se toiseront et ne se regarderont plus, buvant leur solitude à coup d’alcool et d’antidépresseurs et ce jour, je m’en irai ou je ne sortirai plus de chez moi.