les sables colorés avec lesquels les vendeurs des quatre saisons remplissent des bouteilles ….
Inévitables souvenirs pour mes filles.
bouteilles avec Dubaï, avec Abu Dhabi, avec camel et autres clichés
Les Donuts arhhhhhhh les Donuts qui font les langues, roses, bleues ou vertes ….
Les sacs de
Braccialini, toujours inspirés du patchwork, des quilts et des appliqués, à plus de
900 euros le champignon, il n’est même pas hallucinogène …. mais en même temps, en flânant dans la boutique, je me pose toujours la même question : Est il plus facile de s’inspirer quand est connu ?
La réponse est oui à 100 pour cent, personne n’accusera Braccialini de copier les petits patcheuses car les dames qui achètent des sacs 900 euros, je suis sûre qu’elles ne savent même pas que les patcheuses existent.
le sac presque Village Bag, vous vous en souvenez de celui ci ?
Les fauteuils Crazy, chaises et canapés recouverts de velours brodé, j’ai toujours un moment d’hésitation et …. la vision de mes chats sur les fauteuils me ramènent doucement à la réalité.
Les Lalaloopsy modèle de poche, qui nous accompagnent partout …
et puis tant et tant de photos, que je n’ose vous en abreuver … la sélection est rude. Peut être un deuxième petits riens ce matin aussi qui sait ?
Hier j’ai vu l’exposition
Emirati Expressions, (photo interdite of course, mais j’ai acheté le catalogue de l’exposition) photographes Emiraties, qui sous la houlette du grand photographe new yorkais
Stephen Shore, présentent qui sa vision des Emirats, qui son journal photo, qui ses travaux d’art numérique, j’ai scrupuleusement étudié les photos de Stephen Shore sur les Emirats, là je suis heureuse, rassurée, mes petits riens n’ont pas à rougir des grands.
Je continuerai à avoir mon Nikon greffé au bout de mes doigt.
Aujourd’hui, il fait beau, j’ai une équipe de nettoyage qui vient nettoyer le début d’incendie qu’il y a eu hier dans mon appartement, et après le souk iranien sûrement et le l’Emirate Palace, j’adore jouer les touristes ….