Les nuits d’été sont propices aux souvenirs d’enfance, et c’est Jean de la Lune qui m’a rendu visite cette nuit.
Par une tiède nuit de printemps
Il y a bien de cela cent ans,
Que sous un brin de persil, sans bruit
Tout menu, naquit
Jean de la Lune (bis)
Il était gros comme un champignon,
Frêle, délicat, petit, mignon,
Et jaune et vert comme un perroquet,
Avait bon caquet
Jean de la Lune (bis)
Quand il se risquait à travers bois,
De loin, de près, de tous les endroits,
Merles, bouvreuils, sur leurs mirlitons
Répétaient en rond
Jean de la Lune (bis)
Quand il mourut chacun le pleura,
Dans son potiron, on l’enterra,
Et sur sa tombe l’on écrivit
Sur la croix : ci-gît
Jean de la Lune (bis)
Monique Vogt-remy
Merci pour cette charmante chansonnette! Belle journée Nathalie!
Marie Anne
Quelle poésie!
Tu as attrapé une ampoule au bout du doigt et tu l’as transformé en perle de lumière! Tu es une dresseuse de lune !
rosy arzalier
les photos sont magnifiques
MatiStSat
Merci de l’avoir si bien décrochée …. et de nous l’offrir en partage !!!
Bizzz du Lub’Nord où il fait aussi chaud qu’au Sud !!!
MatiStSat
Ma préférée : celle qui arrive juste au bout de mes doigts … enfin, les tiens !!!
Simone CHAUVEAU YORKETTE
C’est vrai qu’hier soir elle était très lumineuse cette Dame de la nuit.