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Journée Partage, le jeudi c’est patchwork ….
Nous partîmes 4 nous arrivâmes 400. J’aime ces journées de partage organisées à Sorgues.
Expositions, expositions minute ….
Les unes travaillent sur leurs ouvrages …. 
les autres sur le petit ouvrage commun, quand j’aurais terminé le mien je vous le montrerais.
C’est impressionnant autant de dames qui oeuvrent en choeur … merci les organisateurs pour cette superbe journée de rencontres interclubs du Vaucluse …. il y avait même la Drôme.
Je jure que je n’ai pas acheté de tissu dit elle mentant effrontément …. ;-)
et puis une journée patchwork sans macaron …. ce n’est pas un journée patchwork
l’atelier du mercredi
Mes minibrodeuses sont toujours aussi assidues, et ne rateraient pas une heure de cours pour tout l’or du monde, et c’est vraiment un rêve, on n’entend pas une mouche voler ….
Ca râle dur car on s’est redonné rendez vous après les vacances ….. c’est long trois semaines.
Boulon vous avez dit boulon, moi ? Un boulon ?
Lorsque j’ai reçu ce trophée des mains du plus ancien d’un groupement fort de 400 bonhommes, je l’ai pris vraiment comme un compliment. Il est arrivé, à déposé le trophée sur mon bureau et m’a dit « j’ai trouvé mon maître … à ton tour d’être l’un des plus gros boulons de tous les temps. Etre un boulon, dans le langage de ma corporation, c’est être plus têtu qu’une mule, savoir ce que l’on veut, et faire exécuter les ordres sans aucune tervergisations possibles …. avec impossibilité de parlementer … quand c’est comme ça, ce n’est pas autrement. Dénotant un léger manque de souplesse des pattes arrières ;-)
Il est toujours là mon trophée, me rappellant ce que j’ai été, et peut être ce que je suis encore …
Un peu lourd comme presse papier ….. parfait comme cale porte …
A Nathalie …. notre plus beau boulon …..
C’était un petit rien de ma mémoire.
Mon épicerie – Au bon marché
17h00 en Provence.
Enfin il fait encore jour, la lumière gagne des minutes chaque jour sur l’obscurité et c’est bien.
Les gros platanes ne sont pas encore feuillus, mais ça ne saurait tarder, j’aime leur présence rassurante, les ombres qui s’étirent dans le ciel bleu d’acier d’un jour de Mistral, comme autant de bras pour me protéger
. Un futur ouvrage ? Qui sait, jouer avec l’ombre et la lumière.
Le soleil même en se couchant caresse les maisons doucement, et bien à l’abri dans les rues étroites il fait bon marcher. C’est ma Provence, mon monde, ma vie, une atmosphère inimitable, un moment de douceur, ce moment même où nos gènes crient à qui veut l’entendre, moi je suis chez moi, c’est mon pays, c’est ma terre. Je suis Provençale et fière de l’être, vous n’adoptez pas la Provence c’est elle qui veut bien de vous.
A qui sian ourous é libre
A lire et à aimer, merci Chantal pour ce partage.
La Provence Parle
Viens poupoule …..
Quand mon maire adoré que j’aime par dessus tout, aura peut être décidé de me donner un permis de construire, parce que les Plu et Pos ben c’est long, ben j’aurais un poulailler comme mes copines, en attendant, je rêve dans ma cuisine, ça vous dit un oeuf coque pour le petit déjeuner ….. ben oui c’est dimanche ….. Café pour tout le monde.
Z’encours
Un z’encours perso, juste la liberté de faire ce que l’on a envie, sans penser à faire une fiche technique …. mais je crois qu’il va prendre du temps, beaucoup de temps …. alors peut être que vous aurez des work in progress (j’adore cette impression ….).
Rien que d’après les croquis j’ai déjà plusieurs commandes ;-) Alors à bientôt pour la suite de l’aventure.
Le jeudi, ce n’est pas broderie …
La naissance des fées ….
« Lorsque le premier bébé rit pour la première fois, son rire se brisa en un million de morceaux, et ils sautèrent un peu partout. Ce futl’origine des fées. »
James Barrie
Les rires des enfants font naître les fées …
et oui c’est ainsi que naissent les fées.