Je n’ai pas résisté, c’est trop génial d’avoir un petit garçon hérisson dans les mains ….
Suite au prochain épisode, il ne reste plus trop de temps, mais qui sait peut être demain soir.
Je n’ai pas résisté, c’est trop génial d’avoir un petit garçon hérisson dans les mains ….
Suite au prochain épisode, il ne reste plus trop de temps, mais qui sait peut être demain soir.
La princesse a été heureuse d’apprendre que son voyage ne s’arrêterait pas là, elle a préparé ses affaires pour le pays des 7 royaumes et a convoqué sa délégation.
Merci Noëlle,
Avant du temps d’avant, quand on avait des copines de patch, elles vous aidaient à sandwicher, maintenant elles achètent très très vite les mêmes tissus que vous pour les terminer avant vous, et srurtout pas le kit; il est trop cher, et ça me fait rire, heureusement que le ridicule ne tue pas et la c ….. non plus.
On se bouche les oreilles, on fait rentrer les chats,
p’tain j’y crois pas ,
c’est l’ouverture de la chasse aujourd’hui …. j’aime po,
on se croirait sur le champ de tir du Cannier.
Pascale j’essaye de recréer la légende, mais chasse le naturel … il revient au galop ;-)
Aujourd’hui il n’y a pas d’école, il n’y a plus d’école, mais il y a tant et tant de choses qui entravent les libertés.
Les vacances se prolongent, par la force des choses. Encore quelques jours et les grattes ciels seront à mes pieds, le désert à portée de mains, et la vie douce au pays de l’éternel été.
LES VENDANGES
(fragment) de Victor de LAPRADE (1860)
Hier on cueillait à l’arbre une dernière pêche,
Et ce matin, voici, dans l’aube épaisse et fraîche,
L’automne qui blanchit sur les coteaux voisins.
Un fin givre a ridé la pourpre des raisins.
Là-bas, voyez·vous poindre, au bout de la montée,
Les ceps aux feuilles d’or, dans la brume argentée ?
L’horizon s’éclaircit en de vagues rougeurs,
Et le soleil levant conduit les vendangeurs.
Avec des cris joyeux, ils entrent dans la vigne ;
Chacun, dans le sillon que le maître désigne,
Serpe en main, sous le cep a posé son panier.
Honte à qui reste en route et finit le dernier !
Les rires, les clameurs stimulent sa paresse !
Aussi, comme chacun dans sa gaîté se presse !
Presque au milieu du champ, déjà brille, là-bas,
Plus d’un rouge corsage entre les échalas ;
Voici qu’un lièvre part, on a vu ses oreilles ;
La grive au cri perçant fuit et rase les treilles.
Malgré les rires fous, les chants à pleine voix,
Tout panier est déjà vidé plus d’une fois,
Et bien des chars ployant sous l’heureuse vendange,
Escortés des enfants, sont partis pour la grange.
Au pas lent des taureaux les voilà revenus,
Rapportant tout l’essaim des marmots aux pieds nus.
On descend, et la troupe à grand bruit s’éparpille,
Va des chars aux paniers, revient, saute et grappille,
Prés des ceps oubliés se livre des combats.
Qu’il est doux de les voir, si vifs dans leurs ébats,
Préludant par des pleurs à de folles risées,
Tout empourprés du jus des grappes écrasées !
Mais ZaZa 1ère du nom, n’est pas de cette écorce là, et n’est pas née de la dernière pluie, celle des gros orages d’été qui rendent les champs plus visqueux qu’un crapaud, et les courges plus belles et plus parfaites que jamais.
D’accord, mais dans tous les cas, quoiqu’il arrive, ça sent drôlement l’Automne à plein nez à Saint Martin, c’est comme s’il avait vraiment peur que j’ai oublié à quoi il pouvait ressembler. Alors Citrouille, Courge ou Potiron n’est ce point la même famille ?
Nostalgique cette fin d’été, nostalgique comme un rêve inachevée, nostalgique comme les souvenirs d’enfance, et ceux d’une amitié aujourd’hui oubliée, mais quelle sont ces êtres qui vendent leur sentiments pour une quarantaine d’euros, ces êtres intrigants et profiteurs qui rêvent de posséder la couronne des petits riens, cette couronne si fragile, qu’il faut beaucoup d’amour pour la conserver intacte sur sa tête, une couronne qui n’est qu’illusion virtuelle, et doux délires de son auteur, une couronne qui ne vaut rien quand elle n’est pas portée par son créateur.
J’aime les potirons, ils servent aux soupes de sorcières, aux gâteaux des fées des forêts, ils sont une maison pour les elfes, novembre approche à grand pas, le samhain est bientôt là et son cortège de sorts et maléfices peu enviables pour les envieux.