Comme ça semble un constance dans la famille, nous déménageons, donc, je trie, je range et j’ai trouvé la grosse poupée Pouët, je l’appelle comme cela car elle me fait penser aux petites poupées des années 70, lutins de tissu et de plastique que nous avions avec ma soeur, que nous avons toujours d’ailleurs.
Celle ci je n’arrive pas à me souvenir … je sais que j’en ai vu, mais où, quand, comment …. elle est bourrée de paille. Elle va avoir besoin de quelques vêtements, un jour peut être ? Je me souviens plus de clowns confectionnés de cette façon que de poupées.
Bon ben voilà encore une « merdouille » de plus à engranger. Belle journée à vous.
Joris- Bovy Jenny
Quelle chance d’avoir pu garder les poupées de ton enfance…
Catherine PELTIER alias cathy Pivoine
Moi aussi mes poupées me suivent. Et oui les déménagements sont difficiles quand on s’attachent aux choses, aux gens , à l’air que l’on respire. Je suis toujours traumatisée par mon retour en France après avoir passé 14 ans à Madagascar, mes premières années: mon enfance en brousse. Comme je le dis la France est mon pays mais mon pays de coeur c’est Madagascar. Les souvenirs , les choses auxquelles on est attaché et dont on ne peut se défaire. Il y a tant à dire.