Pour sauvegarder un patrimoine féminin ancestral, elles créent du nouveau avec des techniques anciennes
Elles veulent sauver leur identité bédouine
Elles y incorporent le cuir de chameau tanné sur place
Elles ont de l’or au bout des doigts, de la couleur dans leur regard.
Elles sont les artisanes du futur, les gardiennes du passé, elles partagent leur savoir,
le transmettent et enseignent leur histoire.
Ce sont les femmes émiriennes qui combattent à leur manière pour préserver leur savoir faire en nous offrant leur patrimoine arc en ciel, car au centre des grandes villes commerciales, elles ne se retrouvent plus.
Elles sont les gardiennes du passé, les artisanes de l’avenir, elles sauvegardent leur patrimoine tout comme nous, chaque jour de l’autre côté de la planète, nous regardons toutes dans la même direction.
Réjeanne
Que c est beau . les traditons en arts ne doivent pas être oubilées … Merci de nous partager …. j’adore les sacs
arzalier
merci encore un beau voyage
marjolaine
oui c’est vrai qu’il ne faut pas perdre le savoir..
anne
Ce geste patient dela tisserande……..après avoir appris à broder à 5 ans 1/2 avec ma grand-mère, à 11 ans, j’ai découvert le tissage, et çam’a donné, redonné le goût du fil, le sens de l’artisanat, sa valeur…………
LN
C’est tout un art de vivre à préserver !
meunier marie jeanne
Toutes ces techniques …. quel plaisir de pouvoir admirer les divers manières de broder tisser tricoter etc etc …. les femmes ont toujours été créatives … amicalement marie jeanne 62
le temps s’adoucit !!! le soleil est là c’est bien agréable !!!!
Claudine
il ne faut rien perdre…jamais ! Bisous