Dans l’épicerie boulangerie, de mon village, humer l’odeur du pain ….
Ecouter le rire de l’épicière qui sert un café ….
se dire qu’il a des jolies chèvres pas très loin, qui ont du bon lait …
Se dire que chaque matin, cette petite coutume est un don du ciel …
elle semble immuable, mais elle est si fragile
Repartir tranquillement dans les ruelles … il est tôt, elles lui appartiennent.
Le ciel tant bien que mal essayera de redevenir clair ….
et je me souviens d’un texte, que j’ai tapé sur une carte de voeux ….