Ca passe toujours très vite ….. chez les autres …..
Ca passe toujours très vite ….. chez les autres …..
Temps gris gris gris, le soleil nous a un peu oublié … et Météo France s’est encore bien plantée …
les végétaux se sèchent sur place au fil des jours …
C’est bien tristounet l’hiver n’importe où que l’on soit …
Alors, il faut mettre de la lumière dans la maison … et vite, riz rouge de Camargue
C’est photogénique le riz, je trouve … pas vous ? Ce riz né de l’eau et de la terre est qui nourrit le une grande partie de l’humanité .
14 000 kilos produits par seconde
Mais long à cuire mais long …. comme un jour sans soleil … il paraît que c’est très bon contre le cholestérol le riz rouge, alors j’ai mis du beurre …
Et puis on prend une cuillère et c’est la Camargue qui vient à nous …
Sous l’oeil bienveillant de Fred …..
Tout ça pour vous dire que la Provence, c’est quand même mieux quand il fait beau, même si c’est l’hiver ….
j’aime trop cette photo, je la ressors tous les ans … Belle après midi à vous, je retourne sous ma couette, hiberner.
Chacun fait sa rétrospective ;-)
Alors je voulais être comme tout le monde, alors voici la mienne
Belle fin d’année à vous tous, et bon bout d’an
Quelques petits riens pour vous from La Bastidane on Vimeo.
A l’année prochaine ? Si vous le voulez bien
Avant j’étais la reine des pancakes … mais ça c’était avant ….
on passe commande et me voilà avec un Nath Do clandestin ;-)
J’adore six gosses d’un coup où comment devenir une idole …
A me remettre au boulot …..
Il en faut des essais, des ratés et des flous, pour enfin vous souhaiter un Joyeux Noël :-)
JOYEUX NOEL A VOUS TOUS
Les étrennes
Ah ! quel beau matin que ce matin des étrennes !
Chacun, pendant la nuit, avait rêvé des siennes
Dans quelque songe étrange où l’on voyait joujoux,
Bonbons habillés d’or, étincelants bijoux,
Tourbillonner, danser une danse sonore,
Puis fuir sous les rideaux, puis reparaître encore !
On s’éveillait matin, on se levait joyeux,
La lèvre affriandée, en se frottant les yeux…
On allait, les cheveux emmêlés sur la tête,
Les yeux tout rayonnants, comme aux grands jours de fête,
Et les petits pieds nus effleurant le plancher,
Aux portes des parents, tout doucement toucher…
On entrait !… Puis alors, les souhaits… en chemise,
Les baisers répétés, et la gaîté permise !
Arthur Rimbaud (1854-1891)
Et un marché sans barbapapa ce n’est pas un marché ;-)
Pour finir en un magnifique lâcher de ballons …
le ciel toujours aussi gris ……
Et le stand qui n’y était pas ben je l’ai fait dans mon salon.