Stéreoscope ….

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Ma soeur m’a dit que mon cas était désespéré pour beaucoup de choses et que la seule solution à mes problèmes étaient d’aller faire un pélerinage  à Lourdes ….

Ben alors j’y suis allée ….

Enfin presque …

Mon cas est désespéré les diapos sont à l’envers ;-)

Voilà j’y suis, je suis dans la chambre de Sainte Bernadette ….

Bon trève de plaisanterie, pour se débarrasser des encombrants … faut les jeter au sens propre comme au figuré …. pourvu que je ne ramène rien des poubelles ….

Bon week end à vous tous.

Qu’importe l’ivresse pourvu qu’on ai le flacon …

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C’était une époque ou j’accumulais les vieux flacons de parfums (je dois avoir un autre carton quelque part, faut que je le retrouve) je m’étais mise la totale loufoque idée en tête de fabriquer mes eaux de toilette « maison », j’accumulais les fleurs séchées, les huiles essentielles, les extraits …. Que m’était il  passé par la tête ?  Je devais avoir un livre sur le retour à la nature, ou pour fabriquer ses produits de beauté maison, ma cuisine ressemblait à un laboratoire … de cette époque est restée les flacons …  ils vont bien servir un jour, mais à quoi ?

 

Bon un petit café avant de continuer les rangements ?

 

 

 

Dentelle d’automne

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La lumière se fait plus ocre de jour en jour, l’automne approche à grand pas … le carreau de dentellière poussiéreux, antiquité qui restera telle quelle … c’est un petit clin d’oeil à Pascale qui elle va utiliser le sien, je l’admire … je m’énerve rien qu’à voir les fils emmêlés.

de vrais épingles de verre, je dois en avoir quelqu’unes en verre filé, en forme d’oiseau, faut que je les retrouve, ohhh pas des masses, peut être deux ou trois.

Et puis … l’automne qui approche à grand pas, et j’aime pô ça, moi qui n’ai pas connu d’hiver pendant trois ans, il va falloir faire entrer du bois pour se chauffer … rien que d’y penser j’ai froid …

Une bonne nouvelle, bientôt la gelée de mûres.

Bonne journée à vous.

 

Retrouvailles …..

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D’où l’expression se rouler par terre de joie, bon je vais chercher ma couverture navajo, et mes bijoux sioux, il parait que c’est so trendy :-) et un cafééééééééééééééééééééééé ….. bonne journée à vous.

(Ca y est nous sommes quasiment au complet, manque Rouge Rouge et Tartine qu’elles (les gremlins) ont choisi hier chez GamVert …. plus qu’à attendre que l’aquarium arrive ….. )

1992 – Retour vers le passé

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En 1992 j’étais mutée à Paris, je n’avais rien pour me meubler, alors toute la famille et les voisins s’y sont mis et m’ont offert les meubles et la vaisselle qui ne servaient plus.

Le lit de ma chambre de « jeune file » transformé en canapé, la chambre Art Déco d’un voisin, la petite table du mariage de l’oncle Joseph, la table en fer et le lampadaire forgés par mon grand père, carrelé avec le emaux de la piscine de l’oncle Jo,  la coiffeuse et la table de couture de tante Charlotte …. un patchwork cousu par tata Pierrette et un autre plus tard sur mon lit, le service à café de grand mère Augusta, les assiettes anglaises de ma grand mère, et celles de tante Eliane, le drap brodé de la cousine Juliette comme rideau dans ma chambre, mes poupées, mes cahiers et mes livres,  j’ai passé tout un été à décaper et peindre les meubles pour faire un unité. Les meubles arrivés à Paris dans un petit appartement de la ceinture rouge, j’ai fait un descente au marché Saint Pierre pour faire mon dessus de « canapé » et mes rideaux. Tout à l’économie, je n’avais pas un sou vaillant. L’appartement était vétuste, inhabitable, la cuisine peinte en orange du sol au plafond, j’ai passé 15 jours avec mon père enfermés dans l’appartement à essayer de le rendre correct.

Je trouve que j’étais très en avance sur le Shabby chic qui fait la une des revues de décoration, et tel Monsieur Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir, je faisais du Shabby chic sans m’en rendre compte.

J’ai encore tout mes meubles et presque tout les bibelots, ils se sont transformés au fil des ans, changés de destination de pièces. Attention certains tissus peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes … ;-) . Mes collègues de bureau, se moquaient un peu de moi, je vivais dans un monde qui  n’était pas vraiment moderne, mais j’étais bien, je travaillais tant, que j’aimais rentrer chez moi, retrouver un peu la campagne et être hors du temps, surtout le jour magique où un monsieur de son orgue de barbarie s’est mis à jouer dans la cour, il y a des choses qui marquent, de ces petits riens qui font qu’un appartement est un refuge. Et puis, il n’y avait que les cinq étages à descendre pour tomber dans une haie d’hortensia et être sur le marché aux puces de la porte de Vanves.

Il y a exactement vingt ans, je faisais la même chose qu’aujourd’hui, je retapais mes meubles pour m’installer …. le bric la broc, et les antiquailles, ce n’est pas d’aujourd’hui ;-)

Saveurs d’enfance

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Saveurs d’enfance, souvenirs de vacances, et oui le camion à pizza était vraiment là.

Allez la recette des Chichis fregis

500 gr de farine, 20 gr de levure de boulanger.
1 c à café de sel, 2 c à soupe de sucre, 1 c à soupe de fleurs d’oranger.
40 cl d’eau, 5 cl d’huile d’olive, sucre pour les saupoudrer après cuisson.

Mettre dans un saladier,
La farine, le sucre, Mélanger avec une cuillère en bois,
(faire un puit pour la levure et rajouter la une fois délayée dans un peu d’eau tiède).

il faut que la pâte soit molle mais non liquide, quand vous avez obtenu l’homogénéïté voulue, rajouter l’huile d’olive. Couvrir la pâte avec un torchon, laisser lever au moins deux heures
Faire chauffer le bain d’huile, faire des boules avec un douille, et faire frire tout doucement les boules, ou les boudins.

Rouler dans le sucre.


La toute petite fête de mon tout petit village …

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Les chichis fregis prêts à plonger dans l’huile bouillante et à devenir un petit rien de bonheur … mais ceux de monsieur Lopez depuis 1971 aucun autre ;-), et aujourd’hui nous irons en chercher pour le goûter comme tous les dimanches de la fête de Saint Martin.

 

 

 

Ma préférée, la pêche au canard …. leur fichu sur la tête me fait craquer.

 

 

J’aime les couleurs de folies des fêtes foraines …. pas de barbapapas cette année, le drame.

Et la soirée se termine avec un  repas digne des irreductibles gaulois sur la place ou tout le village se rassemble sur des airs de bals populaires … Ce soir grand concours de chant …. va-t’on croiser le barde ?