Secouer sa nappe

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Il suffit de peu quelquefois, d’une nappe tâchée, que l’on met à laver puis à sécher, et quand le ciel s’assombrit on la rentre et on la plie délicatement … et puis on détaille ….

 

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Une femme cheveux défaits, un homme qui la regarde, une femme non voilée ….

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et la cité d’Ispahan vous bondit à la gueule, et le sourire des messieurs iraniens vous reviennent en mémoire …. ceux qui dormaient la nuit dans les dow à même le pont des bateaux enroulés dans ces nappes … ils travaillaient 20 heures par jour.

et Port Zayed me revient en mémoire, et l’odeur du souk iranien me saute à la gorge …. je suis là bas, et plus rien ne m’empêche de revenir …

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et je regarde le coucher de soleil sur la ville, c’était le 14 février 2011

 

 

5 Responses

  1. rosy du Luberon

    on a laissé un peu de son âme dans ce pays, surtout vous, je me souviens de ce soir là, d’ailleurs je suis sur une photo, avec Morgan et les filles si petites, le temps a passé si vite, nous étions loin des soucis des tempêtes que l’on trouve hélas chez nous……je soupire de tristesse, mais pas de regrets, j’ai profité de venir plusieurs fois dans ce beau pays magique, où contrairement ce que pensent certains, nous sommes libres d’aller et venir librement et pas d’obligation vestimentaire, tous les pays du golfe et de l’Europe, se retrouvent sans problèmes … «  » dis moi Madame, on y retourne ?? «  » ……. quand ???? GOD SAVE ABU DHABI … inch ALLAH !!!

  2. Claudie

    Bonsoir,
    merci pour toutes ces photos, elles m’ont fait rêver, j’ai eu l’impression de voyager aussi, et aujourd’hui je voudrais bien voir de nouveau où en est la courgette, a-t’elle arrêté de grimper ? Merci Nathalie

    • La Bastidane

      Je me demande vraiment ce qu’est devenue la courgette géante, mais elle a germé pour l’éternité dans ma tête. Un jour j’irai voir si d’autres ont germé dans la ville.

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