Photos prises à toute vitesse lors du Salon … juste parce que les parfums chatouillaient ma mémoire olfactive …
Photos prises à toute vitesse lors du Salon … juste parce que les parfums chatouillaient ma mémoire olfactive …
Si j’avais une seule photo, mais une seule à vous montrer de ces trois ans de rêves … ce serait celle ci …
Abu Dhabi, traditions et modernité …
Quand la nostalgie d’un pays fortement anglo saxon, se fait ressentir les pancakes …
250 grammes de farine
2 oeufs
40 cl de lait entier
1 sachet de levure chimique
2 sachets de sucre vanillé
1 pincée de sel
Vous pouvez rajouter du sucre mais avec la confiture et le Nutella ça fait beaucoup … ca c’est ma recette et il y en beaucoup sur le net, à vous d’améliorer la vôtre.
Mélanger la farine et la levure, puis le sucre vanillé et le sel
Rajouter les oeufs et le lait
Faire chauffer sa crêpière, graisser avec du sopalin trempé dans l’huile entre chaque pancake.
Déposer un demi louche de préparation, regarder, quand la pâte fait des bulles, retourner le pan cake et faire cuire une à deux minutes l’autre face.
Et c’est parti, servir chaud.
avec un multitude de confitures et gelées, miel, lemon curd, crême de marron, confiture de lait, gelée de pommes sans oublier le sirop d’Erable et surtout pas le Nutella.
A manger avec les doigts
Bon, qui fait le café ce matin ?
Madame Tortue avait ramené des mers lointaines de magnifiques coraux et des bonbons extraordinaires.
Bébé Bulle boudait très fort, Papa Bulle lui demandait sans cesse de quitter sa sucette. « Il allait avoir des dents de baudroie à force de garder cet horrible chose dans la bouche ». Même le bébé Tricot Rayé se moquait de lui, alors qu’il accompagnait sa maman au marché.
Nathalie L. pour Victoire et tous les petits enfants qui gardent leur sucette
publié en 2007 sur Histoires de boites à couture ….
Lorsque j’ai reçu ce trophée des mains du plus ancien d’un groupement fort de 400 bonhommes, je l’ai pris vraiment comme un compliment. Il est arrivé, à déposé le trophée sur mon bureau et m’a dit « j’ai trouvé mon maître … à ton tour d’être l’un des plus gros boulons de tous les temps. Etre un boulon, dans le langage de ma corporation, c’est être plus têtu qu’une mule, savoir ce que l’on veut, et faire exécuter les ordres sans aucune tervergisations possibles …. avec impossibilité de parlementer … quand c’est comme ça, ce n’est pas autrement. Dénotant un léger manque de souplesse des pattes arrières ;-)
Il est toujours là mon trophée, me rappellant ce que j’ai été, et peut être ce que je suis encore …
Un peu lourd comme presse papier ….. parfait comme cale porte …
A Nathalie …. notre plus beau boulon …..
C’était un petit rien de ma mémoire.
et je ressors mes vieux ouvrages.
Je les vois revenir en force, les fourchettes bracelet sur la blogosphère … je n’avais pas 10 ans ça fait plus de quarante ans et oui …. la mode des fourchettes bracelet était à son comble .. les années 70 dans toute leur splendeur, mais moi j’avais un tout petit bras, aussi petit que celui de ma fille, alors une des cousines de ma mère, m’avait offerte une fourchette de bébé, celle de sa fille disparue trop tôt à l’âge de cinq ans …. et moi j’étais très émue de porter le souvenir de Sylvie sur mon bras … il est toujours là mon bracelet, Pauline le porte … mon père m’avait fabriqué un coeur avec les fourches, parce que j’aime les coeurs.
Je l’ai porté très très longtemps mon bracelet fourchette en argent. Et je vois mon père tapant sur l’enclume de mon arrière grand père pour tordre ma fourchette, qu’est ce que j’étais fière d’avoir un bracelet comme les grandes.
Je crois que Pauline est fière aussi de porter le bracelet de sa maman.
trouver au fond d’un sac, des jifoutous ayant servi de coussin aux chats …..
et se dire finalement que c’est joli.
Avoir envie pour une fois des couleurs de l’arc en ciel ….
Et se dire qu’après les Aiguilles en Luberon, on s’y remettra.